dimanche 16 mars 2008

Pondichéry - jour 2

À la télévision passe un match du seul sport pour lequel les Indiens manifestent une once de talent : le cricket. Dans un effort surhumain, Hubert réussit à en comprendre au moins grossièrement les règles, et j'écoute passif et ébahi son interprétation des différents actes de jeu.

Le lendemain, nouvelle promenade dans les rues de l'ancienne cité coloniale sous un ciel plus clément que le jour de notre arrivée. Nous lézardons à la terrasse d'un café, plongés dans nos lectures, profitant de la brise marine qui tempère la brute ardeur du soleil.

Le soir, nous mangeons une pizza étonnamment bonne, arrosée de l'inévitable Kingfisher, puis nous dirigeons vers le bar de la veille. Nous y retrouvons notre camarade espagnol, attablé avec un australien en vadrouille. Nous rejoignent une portugaise en vacances et deux étudiantes en anthropologie néérlandaises. Les discussions vont bon train à cette tablée cosmopolite.

Ce matin, nous prenons le bus de retour après une brève promenade dans le marché où nous croisons les deux hollandaises. Je discute un peu avec un certain Gabriel-Sharif, ingénieur chez Areva. Soudain le bus freine et fait un écart : la police a bloqué une voie, théâtre d'un accident mortel entre une moto et... une vache.

PS : le lien vers les photos prises à Pondichéry.

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